J'en [Am]vois des qui [F]se donnent, donnent Des bi[Dm]joux dans le [G]cou.
C'est beau mais quand [Am]même Ce n'sont [F]que des cail[G]loux.
Des [Am]pierres qui [F]vous roulent, roulent Et qui vous [Dm]coulent sur les [G]joues.
J'aime mieux que tu[Am] m'aimes Sans dé[F]penser tes [G]sous.
Moi je m'en [Am]moque, J'e[F]nvoie val[F]ser [E7]les trucs en [Am]toc,
Les [F]cages dor[E7]ées. Toi quand tu m'[Am]serres très [F]fort,
C'est [E7]comme un tré[Am]sor Et [F]ça, et [E7]ça vaut de [Am]l'or.
J'en [Am]vois des qui s'[F]lancent des re[Dm]gards et des [E7]fleurs
Puis qui s'lai[Am]ssent quelque part ou ailleurs Entre les [F]roses et les [G]choux.
J'en [Am]connais des [F]tas qui feraient mieux de [Dm]s'aimer un [E7]peu,
Un peu comme [Am]nous qui nous [F]aimons beauc[G]oup.
Et d'en[C]voyer ail[F]leurs val[Am]ser
Les bagues et [C]les cœurs [F]en coll[E7]ier.
Car quand on [C]s'aime très [F]fort, C'est [E7]comme un tré[Am]sor
Et [F]ça, et [E7]ça vaut de [Am]l'or.
Moi je m'en [Am]moque, J'e[F]nvoie val[F]ser [E7]les trucs en [Am]toc,
Les [F]cages dor[E7]ées. Toi quand tu m'[Am]serres très [F]fort,
C'est [E7]comme un tré[Am]sor Et [F]ça, et [E7]ça vaut de [Am]l'or.